Il y a des jours dans la vie d’un homme où il est temps de prendre des décisions difficiles, et d’autres où, bah non, ça va… Et c’est de ces jours là dont au sujet duquel que je vais m’exprimer ici, avec une plume en forme de clavier (sans fil, c’est toléré), et une verve absolument quelconque !
Après plusieurs mois de réflexion, j’ai donc décidé en commun accord avec moi même (pis le groupe aussi hein), qu’il était temps de poser mes guitares, scéniquement, et d’agripper des deux mains un joli micro qui n’avait rien demandé. Déjà, ça fait moins de bordel à brancher et débrancher (mode feignasse : ON), et surtout, je vais pouvoir gigoter sur scène, et j’avoue que ça m’a manqué pas mal de sauter dans les gens !
C’est aussi l’occasion d’accueillir SYCK à la guitare, un ami de longue date avec qui j’avais partagé moult scènes lorsqu’il officiait dans Selfless avec notre ami commun cher à nos cœurs, le regretté Speed.
C’est une sorte de suite logique finalement.
Nul doute que le bougre aux cotés de notre GDFK va envoyer du bois, et que les deux coreligionnaires guitaristiques à sept cordes (dont 14 en tout) risquent de bulldozeriser la scène (de la musique de zazou j’vous dit ma bonne dame), appuyés par la basse diesel de NKRZ et les futs métalliques d’Orus (oui je fais de l’autopub, j’ai le droit, pis je fais c’que j’veux) !
J’ai intérêt à envoyer sévère si je veux tenir la comparaison 😅